Devenue le cheval de bataille des médias comme des gouvernements et des tutelles, et un enjeu manifestement judiciaire et politique, bien plus que sanitaire, médical ou scientifique, cette affaire est devenue semble t‘il un nœud de crispation sans possibilité de contradiction ou de réconciliation.

Rappelons ni le Dr Fouché, ni les Dr Mignon,; Pr Parola, Pr Brouqui n’ont jamais présenté comme salutaire le traitement par l’Hydroxychloroquine dans la Covid-19, mais qu’il a rapporté les expériences nationales et internationales d’usage de cette molécule dans la prise en charge précoce du Covid-19 qui ont montré des résultats encourageants. Le Dr Fouché a aussi montré les manquements et les biais méthodologiques et statistiques des études utilisées par les tutelles pour justifier l’interdiction à la prescription de ville du produit, et souligné la balance des bénéfices et des risques comme vraisemblablement favorable à l’usage de cette molécule dans une prise en charge multimodale et pluridisciplinaire de soin dans le Covid-19 en phase précoce.

La question de l’Hydroxychloroquine dans le Covid-19 en France est devenue une pomme de discorde qui exaspère les rivalités et les antagonismes outrés.*

 

Elle est aussi devenue un enjeu politique et économique majeur. En effet, sa prescription, reconnue comme utile dans le Covid, aurait interdit aux vaccinations Covid de pouvoir postuler à une AMM conditionnelle.

 

Mais qu’en est il de la Science au soutien d’une position ou une autre ?