Comprendre les particules lipidiques furtives et auto-assemblées à l’origine de la technologie de l’ARNm [1]

15 octobre 2025

 

 

Ils les appelaient simplement « systèmes de livraison ». Je les appelle des boules de méchanceté furtives, changeantes et presque sensibles, dotées de propriétés quantiques.

Dans notre premier article, Falko Seger (alias NarfGB Citoyen agacé) et moi avions décortiqué les données sur les nanoparticules lipidiques, les petites « bulles de graisse » (nous détestons vraiment ce terme qui les fait paraître bénignes). Les LNP rendent possibles les thérapies à base d’ARNm, et nous décrivons comment ces « transporteurs » ont leur propre esprit. Ces particules s’adaptent, réagissent, se débarrassent de leur enveloppe et réécrivent leurs propres règles une fois à l’intérieur du corps. Elles pourraient être les perturbateurs les plus silencieux des thérapies médicamenteuses et peut-être la partie la plus étonnamment toxique de toute cette technologie de plateforme ARNm.

 

Après beaucoup de travail, d’écriture et de réécriture, nous avons le plaisir de publier une prépublication sur ces LNP intitulée :

Complexité, imprévisibilité et problèmes de sécurité des nanoparticules lipidiques – Une revue narrative multidisciplinaire [2]

 

Voici notre résumé sous forme de figure, réalisé par mon ami, le Dr S. Natsheh

Aperçu conceptuel de la plateforme LNP imprévisible. Quatre défis majeurs sont mis en évidence.

  1. Hétérogénéité des LNP (contenu variable en ARNm, agrégats, impuretés)
  2. Dynamique des protéines (spécifique au patient, absorption, identité biologique)
  3. Persistance des lipides et toxicologie (immunogénicité des PEG lipides, adduits ARNmodifié-lipides)
  4. Goulot d’étranglement de l’échappement endosomal (fenêtre de 5 à 15 minutes, faible efficacité, perturbation de la membrane)

Travail original utilisant Canva par S. Natsheh. Icônes réalisées par Pixel perfect de www.flaticon.com

 

 

Introduction

 

Je souhaite m’assurer que tout le monde comprend la nature multi-composante de la technologie modRNA. Il faut d’abord comprendre chaque partie avant d’avoir une idée plus claire de ce que ces molécules sont capables de faire. Voici mon point de vue sur la nature multi-composante des LNP en 4 parties.

  1. la protéine spike : beaucoup de choses ont été écrites à ce sujet, mais je pense que c’est au détriment des autres composants qui ont une activité pharmacologique ou toxicologique propre.
  2. l’ARN-modifié lui-même : « l’ARN plastique » comme je l’appelle, toutes ses modifications et les effets qui en résultent. Je pense que la plupart des gens comprennent les bases de l’ARN-mod.
  3. le LNP multi-composant composé de 4 lipides. Chaque lipide a sa propre pharmacologie, sa propre toxicité et son propre métabolisme. Cela aussi doit être compris.
  4. les LNP en tant que nanoparticules. Le format nanométrique d’une substance présente souvent des propriétés chimiques, physiques, optiques, biologiques, paramagnétiques et, oui, quantiques particulières. Ces LNP multi-composants sont des nanoparticules, et cette propriété doit également être comprise. Plus d’informations

 

 

Ce que sont réellement les nanoparticules lipidiques

 

Les LNP ont été conçues pour protéger l’ARNm et l’aider à pénétrer dans les cellules. Elles contiennent un mélange de quatre lipides clés :

  • un lipide ionisable
  • le cholestérol
  • un phospholipide
  • un PEG-lipide (souvent appelé « revêtement furtif »).

 

Sur le papier, cela semble ordonné et technique. Mais il s’agit de particules MULTI-COMPOSANTS. Ces particules s’assemblent individuellement. Cela signifie que chaque lot peut former des structures légèrement différentes, y compris, mais sans s’y limiter :

  1. certains parfaitement emballés, d’autres à moitié vides ou agrégé
  2. Certains avec ces « blebs » (excroissance/bourgeon). Si cela intéresse quelqu’un, Simonsen les passe en revue.

 

  1. Les tailles peuvent varier.
  2. Différentes charges utiles (combien de molécules d’ARN-modifié par LNP ? Eh bien, de 0 à 7, en moyenne 2,3, mais on ne peut pas le dire en les regardant parce que la taille du LNP ne dépend pas de la quantité de cargaison qu’il contient).
  3. Selon les études les plus importantes, 30 à 50 % des LNP ne contiennent pas d’ARNm. Selon une étude, ce pourcentage atteindrait 80 %. Tout dépend de la méthode d’analyse utilisée.

Cette variabilité est importante. Les particules vides peuvent agir comme des stimulants immunitaires (« adjuvants ») plutôt que comme des porteurs, ce qui peut expliquer pourquoi certains individus ont des réactions inflammatoires plus fortes ou plus erratiques. Elles sont également plus susceptibles d’échapper à l’endosome (nous y reviendrons) que les LNP contenant davantage de molécules d’ARNm.

Encore une chose à propos des méthodes d’analyse. Plus les scientifiques (ou « nanoscientifiques ») parviennent à les mesurer, plus les LNP deviennent étranges. C’est pourquoi nous disons qu’elles ont des propriétés quantiques (bien que, techniquement, elles ne soient pas des nanoparticules assez petites pour être étiquetées comme telles). Voici l’une des dernières méthodes d’analyse qui, selon nous, est l’une des plus précises : Chromatographie bidimensionnelle.

 

Les LNP sont dynamiques et non linéaires

 

Une fois injecté, la LNP ne reste pas dans le muscle. Elle entre dans la circulation et prend une « couronne de protéines » qui est en fait un revêtement de nos propres protéines, et acquiert une identité biologique entièrement nouvelle. Cette couronne de protéines est ce qui définit réellement la biodistribution de ces particules car la couronne modifie les organes vers lesquels la LNP se dirige et la façon dont les cellules y réagissent. Cette nouvelle identité biologique de la LNP est ce que la cellule « VOIT ». Il ne s’agit plus d’une particule synthétique, mais d’une particule que l’on ne peut pas distinguer d’autres lipoprotéines comme les chylomicrons naturellement présent dans le plasma. Le PEG-lipide se détache et cette nouvelle couronne de protéines se forme en quelques minutes dans le plasma, la lymphe ou tout autre fluide corporel. Cette élimination des PEG provoque également des réactions allergiques, parfois graves, sur lesquelles vous pouvez vous renseigner. [3]

 

Au lieu d’un emballage inerte, la LNP devient plutôt un voyageur qui change constamment de déguisement, façonné par l’identité biologique, le régime alimentaire, les médicaments, l’âge et l’état de santé de chaque personne. Elles se remodèlent également dans le plasma et peuvent échanger LEURS lipides contre des lipides dans notre plasma. C’est pourquoi on les appelle des particules furtives, dotées d’un esprit propre.

Enfin, la couronne de protéines définit les cellules qui seront plus ciblées que d’autres, et quelle sera la voie endosomale ou la voie de dégradation suivies dans ces cellules.

Ces facteurs à eux seuls rendent les prévisions « individuelles » irréalistes.

 

Le goulot d’étranglement dont personne ne parle : L’échappement endosomal

 

Pour que l’ARNm fasse son travail, il doit s’échapper des minuscules vésicules situées à l’intérieur des cellules, appelées endosomes, et il doit le faire RAPIDEMENT, en 5 à 15 minutes. Si la fuite échoue, la LNP est décomposée, voire pire, stresse la cellule en obstruant ses systèmes de recyclage. Ce processus est très INEFFICIENT.

 

 

Seulement 1-15% des LNP internalisées libèrent leur cargaison génétique. Et le processus par lequel l’ARNm est libéré dans le cytosol est toxique pour la cellule. Pour que l’ARNm vacinal puisse quitter l’endosome, de petites perforations se forment, qui peuvent être rapidement réparées, mais parfois, de grands pores se forment, qui sont difficiles à réparer et causent une cytotoxicité. La frontière entre le tolérable et la cytotoxicité mortelle pour la cellule est très étroite. C’est ce que nous appelons en pharmacologie une « fenêtre thérapeutique étroite », et elle est propre à chaque personne ET même à chaque type de cellule.

 

 

Cette inefficacité ne dépend donc pas seulement du processus de fabrication. Elle définit la quantité de protéines produites et les types de cellules impliquées, et influe à la fois sur les bénéfices thérapeutiques et sur la toxicité potentielle.

Nous nous demandons donc ce qu’il advient du reste des LNP.

 

Persistance, métabolites lipidiques et questions ouvertes

 

Les lipides eux-mêmes ne disparaissent pas immédiatement. Certains, comme l’ALC-0315 (Pfizer) et le SM-102 (Moderna), sont lents à se dégrader et peuvent rester dans les tissus pendant des semaines. Ils ont été conçus pour être « biodégradables », mais dans la pratique, la dégradation peut être lente et incomplète. Et la « biodégradabilité » est définie pour le lipide ionisable intact, de sorte que lorsque ses liaisons ester sont clivées, il est dit « dégradé ». Mais qu’en est-il des métabolites issus de cette dégradation ? Il existe très peu d’informations à ce sujet, mais on sait que les amines tertiaires peuvent être difficiles à métaboliser dans d’autres médicaments.

En même temps, il y a des réactions chimiques secondaires comme les adduits lipidiques.

Les adduits sont des fragments lipidiques réactifs qui se lient à l’ARNm (par des liaisons covalentes !!!) pendant qu’il est stocké dans les LNPs, mais on commence à peine à étudier si cela se produit dans l’organisme. Ces adduits peuvent rendre l’ARNm illisible ou déclencher des réponses immunitaires indésirables. Et s’ils se produisent également encore dans l’organisme, il peut y avoir des complexes lipides-protéines qui sont des haptènes (qui provoquent une réponse immunitaire et entraînent la production d’anticorps qui ciblent spécifiquement l’haptène ou la protéine = auto-immunité), ou ils peuvent se lier à l’ADN, etc.

Ils se forment plus facilement dans les lots de vaccins soumis à un stress thermique ou plus anciens, ce qui explique pourquoi Pfizer a discrètement modifié son système de tampon à la fin de l’année 2021. Et c’est pourquoi j’appelle cela le PROCESSUS 3. [4]

Processus 3 : Pfizer passe au tampon Tris [5]

 

Pharmacologie surprenante : Interactions médicamenteuses possibles

 

Nous avons également mis en évidence des éléments indiquant que les vaccins à base de LNP peuvent affecter transitoirement le métabolisme des médicaments.

Les interactions entre les médicaments et l’environnement sont très importantes, notamment en raison de la suppression des enzymes CYP450 induite par l’inflammation, les mêmes enzymes qui éliminent des médicaments tels que la clozapine, les benzodiazépines et les statines. Ces interactions ne sont pas toutes mineures, certaines sont ce que nous appelons modérées, ce qui appelle à la vigilance, et certaines ont entraîné des admissions à l’hôpital. Combien d’effets indésirables des vaccins étaient en partie dus à des interactions médicamenteuses ? Et dans le cadre des processus réglementaires, les interactions médicamenteuses ne sont pas évaluées pour les vaccins, pas du tout. Il semble que les vaccins soient à l’abri des interactions médicamenteuses.

Il semblerait même que les médicaments ayant des propriétés « amphiphiles cationiques » (comme certains antidépresseurs ou antipsychotiques) puissent modifier la façon dont les LNP se déplacent dans les cellules. C’est une question que j’explorerai plus en profondeur. Je pense que c’est important.

Aucun de ces mécanismes n’est formellement étudié lors de l’homologation des vaccins. Ils devraient l’être.

 

Vue d’ensemble

 

Notre message est simple :

Les nanoparticules lipidiques sont des excipients non inertes. Elles se comportent comme des systèmes pharmacologiques actifs avec leurs propres profils de toxicité, leurs propres effets biologiques et une variabilité imprévisible.

Cela signifie que cette plateforme exige la même transparence et le même examen minutieux que n’importe quel autre médicament. Nous pensons que l’innovation scientifique doit s’accompagner d’une évaluation honnête, et il y a très peu de choses connues sur les LNP, en dehors de certains concepts de la nanotechnologie.

 

Où nous allons maintenant?

Ce dont nous avons besoin ensuite :

  • Des études réelles de biodistribution et de transfection utilisant les vaccins réels et les ARNm modifiés, et non seulement des substituts.
  • Une enquête indépendante sur la persistance des lipides à long terme et la variabilité de la couronne protéique qui se forme sur les LNP.
  • Des systèmes de pharmacovigilance qui suivent les interactions médicament-vaccin (et supprimer la règlementation de la « Collaboration de Brighton » pour ces produits, peut-être pour tous les vaccins).
  • Une communication réglementaire transparente sur les adduits, les produits de dégradation et la toxicité des excipients.

La question fondamentale n’est pas de savoir si l’on est en sécurité ou non, mais « Jusqu’à quel point sommes-nous prêts à tolérer l’incertitude avant de la qualifier de prévisible ?

Veuillez lire et télécharger notre prépublication ! Plus d’informations à venir sur ce que ces LNP font à l’intérieur de nos cellules en ce qui concerne la signalisation cellulaire et autres. Restez à l’écoute !

 

[1] https://mariagutschi.substack.com/p/quantum-wickedness-in-a-shot?utm_source=substack&utm_medium=email&utm_campaign=email-restack-comment&r=1qb2zf&triedRedirect=true

[2] https://doi.org/10.5281/zenodo.17342544

[3] https://mariagutschi.substack.com/p/carpa?utm_source=publication-search

[4] https://mariagutschi.substack.com/p/process-3-pfizers-change-to-tris

[5] https://substack.com/profile/40352395-the-offscipt-pharmacist

 


Sujet :
Cas cliniques de cancers post injections contre COVID-19

Invité : Dr Laurent DUPOIRIEUX – Chirurgien plasticien, reconstructeur et esthétique
Discutants :
– Dr Louis FOUCHÉ – Médecin Anhestésiste-Réanimateur, Master II Éthique et Anthropologie de la Santé
Hélène BANOUN – Pharmacienne et ancienne Chargé de recherches INSERM
Animateur : Dr Éric MÉNAT – Médecin Généraliste, diplômé en homéopathie/nutrition

Sujet : Cas cliniques de cancers post injections contre COVID-19

Invité : Dr Laurent DUPOIRIEUX – Chirurgien plasticien, reconstructeur et esthétique

Discutants :
– Dr Louis FOUCHÉ – Médecin Anhestésiste-Réanimateur, Master II Éthique et Anthropologie de la Santé
–  Hélène BANOUN – Pharmacienne et ancienne Chargé de recherches INSERM

Animateur : Dr Éric MÉNAT – Médecin Généraliste, diplômé en homéopathie/nutrition

 

 

En 2020 sont apparus pour le grand public les vaccins ARNm qui seront déployés massivement (avec insistance et contraintes) en 2021. La publicité était tellement forte qu’il était impossible, sous peine de bannissement social et professionnel, d’émettre la moindre réserve concernant cette technologie. A tel point que même son appellation est devenue un sujet de controverse.

 

Pendant cette période, certains termes, appellations sont devenus difficiles à utiliser tant la polémique était grande. Il y a des termes qui seraient autorisés et d’autres non.

Malheureusement, la polémique vient surtout d’un manque de connaissance de la définition des termes en question.

 

Les injections ARNm sont des thérapies géniques.

 

La définition des termes ne laisse pourtant, dans ce cas précis, aucune marge d’appréciation.

 

Le problème

 

L’apparition des vaccins contre le COVID a été extrêmement rapide. Le PDG de Moderna était content et fier d’expliquer que son vaccin avait été inventé, préparé en 48h entre le 11 et 13 janvier 2020 avant même que la pandémie ne soit déclarée. Le grand public sait que la préparation d’un nouveau médicament, d’un nouveau vaccin prend plusieurs années. Cette rapidité a soulevé une grande inquiétude parmi la population. Inquiétude justifiée.

Les autorités sanitaires ont essayé de rassurer en expliquant que les tests de sécurité et d’efficacité étaient pourtant tous totalement effectués et qu’il n’y avait pas lieu de s’inquiéter.

Chacun jugera.

 

Les nouveaux produits de Moderna et Pfizer faisaient face à un autre défi. Celui de la thérapie génique.

 

Au niveau du grand public, la thérapie génique est connue grâce au Téléthon mais aussi malheureusement pour ses échecs retentissants. L’essai de M Alain Fisher concernait les « enfants bulles » atteints d’un déficit immunitaire combiné sévère. Malencontreusement, plusieurs des dix « enfants bulles » soignés par l’équipe de Marina Cavazzana-Calvo et Alain Fischer (Inserm) ont développé une forme de leucémie qui a conduit à l’arrêt de l’essai thérapeutique en octobre 2002. Au moins 1 enfant est décédé.

La thérapie génique, pleine de promesses, devient alors problématique aux yeux du grand public.

 

De fait, il était inadmissible de laisser accoler le terme de « thérapie génique » aux injections ARNm de Pfizer et Moderna que les autorités de santé (et médiatiques) voulaient imposer à la population.

 

Et pourtant…

 

La définition de la thérapie génique

 

La définition est simple : « La thérapie génique consiste à introduire dans l’organisme du matériel génétique -de l’ADN ou de l’ARN- à des fins thérapeutiques. » [1]

 

L’INSERM explique que l’injection d’ARN est une thérapie génique. [2]

 

 

L’union européenne définit les thérapies géniques comme des médicaments biologiques qui aont les caractéristiques suivantes :

  • Contiennent ou sont constitués un acide nucléique recombinant administré à des personnes en vue de réguler, de réparer, de remplacer, d’ajouter ou de supprimer une séquence génétique.
  • Leur effet thérapeutique, prophylactique ou diagnostique dépend directement de la séquence d’acide nucléique recombinant qu’il contient ou au produit de l’expression génétique de cette séquence.

[3]

 

L’ensemble de la communauté scientifique valide dans les publications que les technologies à base d’ARN sont des produits de thérapies géniques.

[4]

 

De fait, les injections de Pfizer et MODERNA sont, par définition, des produits de thérapies géniques.

 

 

Qu’en pensent les fabricants MODERNA et PFIZER ?

 

Ces 2 fabricants reconnaissent et acceptent simplement, et logiquement, que leurs produits contre le COVID sont des thérapies géniques.

C’est notamment le cas au niveau de la FDA : « les thérapies à base d’ARNm ont été classées comme des médicaments de thérapie génique » [5]

 

Il est vrai que les ARNm en tant que vaccins contre les maladies infectieuses ont été exclus de la réglementation des produits de thérapies géniques par l’union européenne [8]. Cependant, les vaccins ARNm correspondent parfaitement à la définition des produits de thérapies géniques. Il n’y a donc pas de raisons légitimes d’exclure ces vaccins du champ des produits de thérapies géniques.

 

Ainsi, les fabricants sont conscients de la mauvaise publicité que cette définition fait porter sur leur produit. C’est là que le service marketing entre en jeu et que le lobbying peut commencer.

Le but ?

Faire changer la définition !

 

Donc Pfizer et Moderna demandent que la définition soit changée !

Pour que les vaccins ARNm qu’ils produisent ne rentrent plus dans le champ des thérapies géniques. [6]

 

 

Qu’en pense l’ANSM ?

 

La définition fournie par l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) est identique aux autres définitions.

 

Un médicament de thérapie génique est un médicament biologique qui a les caractéristiques suivantes :

  • il contient un acide nucléique recombinant qui est administré à des personnes en vue de réguler, de réparer, de remplacer, d’ajouter ou de supprimer une séquence génétique ;
  • son effet thérapeutique, prophylactique ou diagnostique dépend directement de la séquence d’acide nucléique recombinant qu’il contient ou au produit de l’expression génétique de cette séquence. [7]

 

Pourtant, par un tour de magie, l’ANSM précise que « Les vaccins contre les maladies infectieuses ne sont pas compris dans les médicaments de thérapie génique. »

Le produit a donc toutes les caractéristiques, pas une de plus, pas une de moins, de la définition de l’ANSM des thérapies géniques mais pourtant il ne serait pas une thérapie génique.

La mauvaise foi de l’ANSM est encore visible ici.

Rien d’étonnant.

 

L’erreur de compréhension ?

 

Ceux qui soutiennent, contre vents et marées, mais surtout contre l’évidence, que les injections d’ARNm ne sont pas des thérapies géniques le font dans le but de minimiser la peur des gens.

 

Et ils le font au prétexte que, pour parler de thérapies géniques, il faudrait que l’information génétique s’intègre dans le génome sinon ce ne serait pas une thérapie génique. Pour eux, l’ARNm qui n’a pas vocation à s’intégrer dans le génome serait donc exclu du champ de la thérapie génique.

 

Cette vision réductrice vient du fait que les premières techniques de thérapies géniques étaient, initialement, basées sur l’ADN et son intégration dans le génome du patient pour remplacer un gène déficient.

Depuis, les possibilités se sont multipliées.

 

Mais pourtant, ce critère ne fait pas partie de la définition. L’intégration de l’information génétique dans le génome n’est pas nécessaire pour entrer dans la catégorie des thérapies géniques.

 

De fait, les injections de Pfizer et MODERNA sont, par définition, des thérapies géniques.

 

 

En résumé

 

L’INSERM explique que les injections d’ARNm sont des thérapies géniques.

La FDA explique que les injections d’ARNm sont des thérapies géniques.

L’UE explique que les injections d’ARNm sont des thérapies géniques.

Même MODERNA et PFIZER reconnaissent que les injections d’ARNm sont des thérapies géniques.

 

A partir de là, il faut accepter que les injections d’ARNm sont des thérapies géniques.

Si quelqu’un veut soutenir le contraire, il n’a qu’à changer la définition de la thérapie génique avant !

 

[1] https://www.afm-telethon.fr/fr/termes/therapie-genique

[2] https://www.inserm.fr/dossier/therapie-genique/

[3] https://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2009:242:0003:0012:FR:PDF

[4] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/17007566/

[5] https://sec.gov/Archives/edgar/data/1776985/000119312519241112/d635330df1.htm

http://sec.gov/Archives/edgar/data/1682852/000168285220000017/mrna-20200630.htm

 

[6] https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-9-2024-000355_FR.html

[7] https://ansm.sante.fr/qui-sommes-nous/notre-perimetre/les-produits-biologiques/p/les-produits-biologiques-1

[8] https://www.mdpi.com/1422-0067/24/13/10514

Sujet : Alerte sanitaire sur les ARNm anti-Covid

Invité : Dr Louis FOUCHÉ – Médecin Anhestésiste-Réanimateur, Master II éthique et Anthropologie de la Santé

Discutante : Hélène BANOUN – Pharmacienne et ancienne Chargé de recherches INSERM

Alerte sanitaire sur les Vaccins ARNm contre la Covid-19

(Comirnaty de Pfizer et Spikevax de Moderna

Le collectif Les Enfants d’Hippocrate souhaite alerter les décideurs publics et les autorités de santé des problématiques sanitaires liées aux vaccins anti-covid.

Les documents publics, les documents confidentiels déclassifiés, ainsi que l’abondante littérature scientifique, démontrent des défauts majeurs de qualité, de sécurité et d’efficacité des produits dénommés vaccins anti-Covid à ARNm : Comirnaty et Spikevax.

Ces vaccins présentent un défaut de qualité intrinsèque :

Mis au point en un temps record, sur la base d’une technologie nouvelle et sans recul, mis sur le marché de manière conditionnelle à partir de données incomplètes, y compris concernant la qualité même du produit, de nombreux défauts de qualité sont désormais avérés.

Ces vaccins ne répondent pas aux exigences qualité réglementaires.

1- Une dissimulation de données aux autorités de santé (EMA, ANSM) par le laboratoire Pfizer 

2- Une fabrication non maîtrisée ne respectant pas les bonnes pratiques de fabrication des médicaments

3- Des contrôles qualité inadaptés à ces nouvelles technologies 

 

Ces vaccins présentent en conséquence des défauts de qualité inadmissibles aux retombées imprévisibles.

4- Jusqu’à 49 % d’ARNm incomplets codant une protéine Spike défectueuse

5- La modification de l’ARNm (remplacement des uridines par des pseudouridines) affecte la fidélité de traduction (passage de l’ARNm à la protéine) conduisant à des protéines Spike aberrantes et tronquées (Mulroney et al-Nature-2024)

6- Des taux résiduels d’ADN plasmidique au-delà des seuils réglementaires sur certains lots

7- La présence d’une séquence du virus SV40 oncogène

 

Des données habituellement requises pour une mise sur le marché standard sont encore manquantes à ce jour.

8- La dose réelle d’ARNm complets injectée est non maîtrisée et inconnue

9- La quantité de Spike produite par les vaccinés est non maîtrisée, non étudiée et inconnue

10- Les délais de persistance de l’ARNm et de Spike dans le corps humain sont inconnus

11- Les autorités de santé ne connaissent pas la biodistribution exacte tant de l’ARNm que de la protéine Spike qu’il code

Ces vaccins présentent des défauts majeurs de sécurité 

Administrés à des personnes saines dans un but préventif, ces produits devraient par conséquent présenter une sécurité maximale.

Malheureusement les données scientifiques accumulées démontrent des défauts de sécurité majeurs pour ces produits, qui ont été pourtant administrés y compris aux enfants et aux femmes enceintes, sans études cliniques robustes susceptibles de le justifier.

12- L’ARNm et Spike envahissent tout l’organisme et s’accumulent dans certains organes

13- Spike est une protéine présentant une toxicité intrinsèque notamment proinflammatoire, prothrombogène, amyloïde.

14- Un passage transplacentaire avec atteinte fœtale est démontré chez l’animal

15- Un passage dans le lait maternel est démontré chez la femme allaitante

16- Aucune étude de génotoxicité ni de carcinogénicité alors qu’un risque est  reconnu par le TGA (autorité Australienne)  

Les données de pharmacovigilance accumulées depuis 2021 par l’EMA, l’ANSM ou le VAERS dans tous les pays du monde sont très inquiétantes. 

17- Un nombre historique  d’effets secondaires: 2.9 personnes sur 1000 personnes ayant reçu au moins une dose présentent un effet indésirable

18- Un taux inadmissible d’effets indésirables graves: environ 1 personnes sur 1000 vaccinées a présenté un effet indésirable GRAVE en France (données ANSM au 24/02/2023)

19- La découverte au fil du temps d’effets indésirables inconnus jusqu’alors

20- Des effets à moyen et long terme toujours inconnus

 

Les victimes d’effets secondaires s’accumulent en silence depuis 2021 sans prise en charge médicale adaptée et reconnue.

Ces vaccins présentent des défauts majeurs d’efficacité

L’efficacité relative des vaccins de 95% présentée par les laboratoires n’a jamais été retrouvée en vie réelle et s’est rapidement avérée complètement fausse avec l’apparition de variants du SARS-CoV-2. L’efficacité revendiquée sur les formes graves n’a pas été démontrée formellement par les essais cliniques de phase 3. L’efficacité sur la transmission n’a jamais été prouvée contrairement à ce qu’affirme la propagande médiatique et institutionnelle du « Tous vaccinés, Tous protégés ».

L’efficacité des nouvelles adaptations du vaccin aux variants n’a jamais été démontrée cliniquement et reste donc inconnue. 

21- Efficacité surestimée dès le départ et inconnue chez les malades à risque

22- Aucun effet sur la transmission du virus SARS-CoV-2

23- Efficacité clinique des adaptations aux nouveaux variants non prouvée


Ces produits présentent donc une balance bénéfice – risque défavorable.

Au vu des défauts majeurs et inacceptables démontrés de ces vaccins, l’association Les Enfants d’Hippocrate, représentant scientifiques, médecins, usagers de santé et victimes d’effets indésirables, exige immédiatement au nom de la protection des citoyens et de la démocratie sanitaire:

 

  • Le retrait immédiat du marché des produits à ARNm, chez l’humain et l’animal 

 

  • Un moratoire sur la recherche clinique sur les ARNm

  • L’étude exhaustive et indépendante de ces produits

 

  • La reconnaissance et la prise en charge financière, psychologique et médicale des victimes des injections antiCovid19 et des syndrômes post infectieux Covid
  • L’information exhaustive aux soignants et au public sur cette thématique 


  • La mise en place de filières de recherche clinique et fondamentale, et de soins,  susceptibles d’améliorer le diagnostic et les traitements des victimes d’effets indésirables des injections antiCovid et des victimes de Covid longs


  • Le développement et l’accès au dosage diagnostic de la protéine Spike vaccinale et virale

Références

Une dissimulation de données aux autorités de santé (EMA, ANSM) par le laboratoire

https://fragdenstaat.de/anfrage/questions-regarding-the-rapporteurs-rolling-review-assessment-report-of-19-11-2020/

https://osf.io/preprints/osf/mjc97_v1

https://factreview.s3.eu-central-1.amazonaws.com/uploads/2023/07/Rolling-Review-Report-Quality-COVID-19-mRNA-Vaccine-BioNTech.pdf


Une fabrication non maîtrisée ne respectant pas les bonnes pratiques de fabrication des médicaments avec une variabilité inter lots et des procédés de fabrication différents non démontrés équivalents

https://prd-tsn-main-api.s3.amazonaws.com/article/13d1ad53-0c0d-4163-941f-81c50f00f8c6.pdf

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38057663/ (Mulroney et al, 2024)

https://www.nejm.org/doi/suppl/10.1056/NEJMoa2034577/suppl_file/nejmoa2034577_protocol.pdf

https://factreview.s3.eu-central-1.amazonaws.com/uploads/2023/07/Rolling-Review-Report-Quality-COVID-19-mRNA-Vaccine-BioNTech.pdf)

https://www.bmj.com/content/378/bmj.o1731/rr-2

 

Des contrôles qualité inadaptés à ces nouvelles technologies:

Milne C, Wagner R, Cano F, Bruysters M, Waeterloos G, Pullirsch D, Wierer M, Mallet L. Independent control of COVID-19 vaccines by EU Official Control Authority Batch Release: challenges, strengths and successes. NPJ Vaccines. 2023 Feb 23;8(1):22. doi: 10.1038/s41541-023-00617-x. PMID: 36823287; PMCID:PMC9950138. https://www.ema.europa.eu/en/human-regulatory-overview/public-health-threats/coronavirus-disease-covid-19/covid-19-medicines/covid-19-vaccines-key-facts

 

Yang H. Establishing acceptable limits of residual DNA. PDA J Pharm Sci Technol. 2013 Mar-Apr;67(2):155-63. doi: 10.5731/pdajpst.2013.00910. PMID: 23569076.

https://www.edqm.eu/documents/52006/277490/Guideline+for+Pandemic+COVID-19+Vaccine+%28mRNA%29.doc/2c5dbe5c-1003-6949-eab9-5fc562062d88?t=1642426198777

L’ARNm et la spike envahissent tout l’organisme et s’accumulent dans certains organes selon la littérature scientifique :

https://www.ema.europa.eu/en/documents/other/ema-reply-follow-covi-exchange-views-27-march-2023_en.pdf

Japanese Pharmaceuticals and Medical Devices Agency (PMDA) SARS-CoV-2 mRNA Vaccine (BNT162, PF-07302048) 2021. [(accessed on 7 April 2023)]. Available online: https://www.pmda.go.jp/drugs/2021/P20210212001/672212000_30300AMX00231_I100_1.pdf.

Judicial Watch Pfizer/BioNTech Study Found Lipid Nanoparticles Materials Outside Injection Site in Test Animals. judicialwatch.org. 2022. [(accessed on 12 July 2023)]. Available online: https://www.judicialwatch.org/nanoparticles-materials-outside-injection-site/

https://www.tga.gov.au/sites/default/files/foi-2389-06.pdf

Yang R, Deng Y, Huang B, Huang L, Lin A, Li Y, Wang W, Liu J, Lu S, Zhan Z, Wang Y, A R, Wang W, Niu P, Zhao L, Li S, Ma X, Zhang L, Zhang Y, Yao W, Liang X, Zhao J, Liu Z, Peng X, Li H, Tan W. A core-shell structured COVID-19 mRNA vaccine with favorable biodistribution pattern and promising immunity. Signal Transduct Target Ther. 2021 May 31;6(1):213. doi: 10.1038/s41392-021-00634-z. PMID: 34059617; PMCID: PMC8165147.

https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/apm.13294

Roltgen, K.; Nielsen, S.C.A.; Silva, O.; Younes, S.F.; Zaslavsky, M.; Costales, C.; Yang, F.; Wirz, O.F.; Solis, D.; Hoh, R.A.; et al. Immune imprinting, breadth of variant recognition, and germinal center response in human SARS-CoV-2 infection and vaccination. Cell 2022, 185, 1025–1040.e14.

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Krauson, A.J., Casimero, F.V.C., Siddiquee, Z. et al. Duration of SARS-CoV-2 mRNA vaccine persistence and factors associated with cardiac involvement in recently vaccinated patients. npj Vaccines 8, 141 (2023). https://doi.org/10.1038/s41541-023-00742-7

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Cristoni Simone, Brogna Carlo, Frongillo Aquilino, Marino Giuliano, Montano Luigi, & Piscopo Marina. (2022). « Detection of recombinant spike protein in plasma from vaccinated against SARS-CoV-2 individuals ». (Version 1). Zenodo. https://doi.org/10.5281/zenodo.5831816

Cutting Edge: Circulating Exosomes with COVID Spike Protein Are Induced by BNT162b2 (Pfizer–BioNTech) Vaccination prior to Development of Antibodies: A Novel Mechanism for Immune Activation by mRNA Vaccines

Sandhya Bansal et al. J Immunol (2021) 207 (10): 2405–2410.

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0092867422000769

Cognetti JS, Miller BL. Monitoring Serum Spike Protein with Disposable Photonic Biosensors Following SARS-CoV-2 Vaccination. Sensors (Basel). 2021 Aug 31;21(17):5857. doi: 10.3390/s21175857. PMID: 34502753; PMCID: PMC8434114.

Appelbaum J, Arnold DM, Kelton JG, Gernsheimer T, Jevtic SD, Ivetic N, Smith JW, Nazy I. SARS-CoV-2 spike-dependent platelet activation in COVID-19 vaccine-induced thrombocytopenia. Blood Adv. 2022 Apr 12;6(7):2250-2253. doi: 10.1182/bloodadvances.2021005050. PMID: 34724709; PMCID: PMC8563079.

https://www.ahajournals.org/doi/full/10.1161/CIRCULATIONAHA.122.061025

Persistent varicella zoster virus infection following mRNA COVID-19 vaccination was associated with the presence of encoded spike protein in the lesion. Mayuko Yamamoto MD, PhD, Misaki Kase MD, Hozumi Sano MD, Reiko Kamijima, Shigetoshi Sano MD, PhD. First published: 25 August 2022. https://doi.org/10.1002/cia2.12278

A case of persistent, confluent maculopapular erythema following a COVID-19 mRNA vaccination is possibly associated with the intralesional spike protein expressed by vascular endothelial cells and eccrine glands in the deep dermis. Hozumi Sano, Misaki Kase, Yukiko Aoyama, Shigetoshi San

Mörz, M. A Case Report: Multifocal Necrotizing Encephalitis and Myocarditis after BNT162b2 mRNA Vaccination against COVID-19. Vaccines 2022, 10, 1651. https://doi.org/10.3390/vaccines10101651

https://www.europeanreview.org/wp/wp-content/uploads/013-019-2.pdf

Jusqu’ à 50% d’ARNm incomplets codant pour une protéine spike défectueuse

Quality Rolling Review CHMP overview and List of Questions . EMA / CHMP/64856/2020.

https://www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/comirnaty-epar-public-assessment-report_en.pdf

Des taux résiduels d’ADN plasmidique au-delà des seuils réglementaires sur certains lots et la présence d’une séquence du virus oncogène SV40

[Palmer, M., Gilthorpe, J. (2023) COVID-19 mRNA vaccines contain excessive quantities of bacterial DNA: evidence and implications. Doctors for COVID Ethics. Retrieved from https://doctors4covidethics.org/covid-19-mrna-vaccines-contain-excessive-quantities-of-bacterial-dna-evidence-and-implications/

McKernan, K., Helbert, Y., Kane, L.T., McLaughlin, S. (2023) Sequencing of bivalent Moderna and Pfizer mRNA vaccines reveals nanogram to microgram quantities of expression vector dsDNA peer dose. ResearchGate. doi: 10.31219/osf.io/b9t7m. Retrieved from https://www.researchgate.net/publication/369967228_Sequencing_of_bivalent_Moderna_and_Pfizer_mRNA_vaccines_reveals_nanogram_to_microgram_quantities_of_expression_vector_dsDNA_per_dose

Buckhaults, P. (2023) Testimony before South Carolina Senate Medical Affairs Ad-Hoc Committee on DHEC. Retrieved from https://www.youtube.com/watch?v=IEWHhrHiiTY

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https://osf.io/b9t7m/

https://youtu.be/IEWHhrHiiTY

https://twitter.com/i/status/1654413127415480320

https://osf.io/mjc97/

König, B.; Kirchner, J.O. Methodological Considerations Regarding the Quantification of DNA Impurities in the COVID-19 mRNA Vaccine Comirnaty®. Methods Protoc. 2024, 7, 41. https://doi.org/10.3390/mps7030041

La Spike est une molécule toxique notamment proinflammatoire, prothrombogène, amyloide :

Jean-François Lesgards, Dominique Cerdan, Christian Perronne, Jean-Marc Sabatier, Xavier Azalbert, Elizabeth A. Rodgers, Peter A. McCullough. Toxicity of SARS-CoV-2 Spike Protein from the Virus and Produced from COVID-19 mRNA or Adenoviral DNA Vaccines. Archives of Microbiology and Immunology. 7 (2023): 121- 138.

Cosentino, M.; Marino, F. Understanding the Pharmacology of COVID-19 mRNA Vaccines: Playing Dice with the Spike? Int. J. Mol. Sci. 2022, 23, 10881. https://doi.org/10.3390/ijms231810881

Shen CJ, Lin YP, Chen WC, Cheng MH, Hong JJ, Hu SY, Shen CF, Cheng CM. COVID-19 Vaccination in Pregnancy: Pilot Study of Plasma MicroRNAs Associated with Inflammatory Cytokines after COVID-19 mRNA Vaccination. Vaccines (Basel). 2024 Jun 14;12(6):658. doi: 10.3390/vaccines12060658. PMID: 38932387; PMCID: PMC11209245.

Un passage transplacentaire avec atteinte fœtale est démontré chez l’animal

mRNA-1273 is placenta-permeable and immunogenic in the fetus Chen, Jeng-Chang et al. Molecular Therapy Nucleic Acids, Volume 36, Issue 1, 102489

Un passage dans le lait maternel est démontré chez la femme

Low, J.M., Gu, Y., Ng, M.S.F. et al. Codominant IgG and IgA expression with minimal vaccine mRNA in milk of BNT162b2 vaccinees. npj Vaccines 6, 105 (2021). https://doi.org/10.1038/s41541-021-00370-z

Detection of Messenger RNA COVID-19 Vaccines in Human Breast Milk

Nazeeh Hanna, Ari Heffes-Doon, Xinhua Lin, Claudia Manzano De Mejia, Bishoy Botros, Ellen Gurzenda, Amrita Nayak. JAMA Pediatr. 2022 Dec; 176(12): 1268–1270. Published online 2022 Sep 26. doi: 10.1001/jamapediatrics.2022.3581

Aucune étude de génotoxicité ni de carcinogénicité alors que le risque d’intégration génomique est reconnu par le TGA

https://www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/comirnaty-epar-public-assessment-report_en.pdf

https://www.tga.gov.au/sites/default/files/2024-12/FOI%2025-0058%20Documents.pdf

Référence sur les effets indésirables

https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/covid-19-vaccins

https://www.ema.europa.eu/en/human-regulatory-overview/public-health-threats/coronavirus-disease-covid-19/covid-19-public-health-emergency-international-concern-2020-23/guidance-medicine-developers-other-stakeholders-covid-19/covid-19-guidance-post-authorisation

Références sur les défauts majeurs d’efficacité

https://www.ema.europa.eu/en/medicines/human/EPAR/comirnaty

https://www.fda.gov/media/152256/download

https://www.fda.gov/media/144416/download

https://phmpt.org/wp-content/uploads/2022/04/reissue_5.3.6-postmarketing-experience.pdf

Signataires:

 

Médecins et universitaires:

Dr Philippe de Chazournes, Docteur en Médecine, Médecin généraliste

Dr Claude Escarguel, Docteur en Pharmacie, Microbiologiste, Président de l’UPGCS

Dr Louis Fouché, Docteur en Médecine, Anesthésiste-Réanimateur

Dr Hélène Banoun, Docteur en Pharmacie, Microbiologiste

Dr Christian Vélot, Docteur en Biologie moléculaire, Généticien

Pr Christian Perronne, PuPH, Infectiologue

Laurent Mucchielli, sociologue, Directeur de recherche au CNRS

Dr Anne Catherine Martin, Docteur en Médecine

Dr Christian Latriche, Docteur en Médecine

Dr Laurent Hervieux, Docteur en Médecine

Pr Bernard Massie, PhD Microbiologie et Immunologie

Dr Françoise Auban, Docteur en Médecine

Dr Michel Pontis, Docteur en Médecine

Dr Evelyne Rougeaux, Docteur en Médecine

Dr Carine Caron, Docteur en Médecine

Dr Jean Pierre Garcia, Docteur en Médecine

Dr Dominique Rueff, Docteur en Médecine

Dr Bernard Saussol, Docteur en Médecine

Dr Edouard Broussalian, Docteur en Médecine

Dr Eric Kiener, Docteur en Médecine

Dr Dominique Prost, Docteur en Médecine

Dr Sébastien Brunet, Docteur en Médecine

Dr Eric Loridan, Docteur en Médecine, Chirurgien général

Dr Pauline De vaux, Docteur en Médecine, Psychiatre

Dr Marie Dominique Petit, Docteur en Médecine

Dr Noyan Handé, Docteur en Médecine

Dr Michel Boudé, Docteur en Médecine

Dr Catherine Guiffra, Docteur en Médecine

Dr Elisabeth Grimaud, Docteur en Psychologie

Dr Sophie Scheffer, Docteur en Médecine

Dr Catherine Noël, Docteur en Médecine

Dr Claire Lenclud, Docteur en Médecine

Dr Line Cabot, Docteur en Médecine

Dr Alain Joseph, Docteur en Médecine

Dr Pierre Maugeais, Docteur en Médecine

Dr Pascale Brun, Docteur en Médecine

Dr Clotilde Véron, Docteur en Médecine

Dr Michel Procureur, Docteur en Médecine

Dr Edwige Bertin, Docteur en Médecine

 

Collectifs et associations:

Les Enfants D’Hippocrate

Conseil Scientifique Indépendant

AAVIC Team

RéinfoLiberté

Collectif Santé Mauges

 

Sujet : Chute des naissances et fragilité des bébés
Invité : Kristin Mackoi – Biostatisticienne et Biologiste moléculaire et génétique
Discutant : Banoun Hélène – Pharmacienne et ancienne Chargé de recherches INSERM
Animateur : Éric Ménat – Médecin Généraliste, diplômé en homéopathie/nutrition

Sujet : Chute des naissances et fragilité des bébés

Invité : Kristin Mackoi – Biostatisticienne et Biologiste moléculaire et génétique

Discutant : Banoun Hélène – Pharmacienne et ancienne Chargé de recherches INSERM

Animateur : Éric Ménat – Médecin Généraliste, diplômé en homéopathie/nutrition

Sujet : Vaccins traditionnels vs vaccins ARNm-mod: quelles différences et conséquences?

Invité : Dr Bernard Massie – Docteur en microbiologie et immunologie, spécialiste de l’adénovirus, ex Directeur de recherche du Conseil national de recherches du Canada. Commissaire au sein de la Commission d’enquête nationale citoyenne (CeNC) du Canada.

Discutantes :
– Hélène Banoun – Pharmacienne et ancienne Chargé de recherches INSERM
– Carole Cassagne – Biologiste médicale et enseignant-chercheur

Animateur : Dr Louis Fouché – Médecin Anhestésiste-Réanimateur, Master II Ethique et Antropologie de la Santé

Sujet : Vaccins traditionnels vs vaccins ARNm-mod: quelles différences et conséquences?

Invité : Dr Bernard Massie – Docteur en microbiologie et immunologie, spécialiste de l’adénovirus, ex Directeur de recherche du Conseil national de recherches du Canada. Commissaire au sein de la Commission d’enquête nationale citoyenne (CeNC) du Canada.

Discutantes :
Hélène Banoun – Pharmacienne et ancienne Chargé de recherches INSERM
– Carole Cassagne – Biologiste médicale et enseignant-chercheur

Animateur : Dr Louis Fouché – Médecin Anhestésiste-Réanimateur, Master II Ethique et Antropologie de la Santé